MUNICIPALES - GAUCHE, QUELLE VICTOIRE ? La victoire de la gauche aux municipales était attendue. Elle n’en passe pas moins toutes les craintes des uns et les espérances des autres. 155 des 221 villes de plus de 30.000 habitants ont désormais des maires socialistes ou communistes. Les vieux bastions de la droite (Est et Ouest) basculent. De Rennes à Thionville, de Mâcon à Nantes, de Poitiers à Évreux les coalitions municipales majoritaires souvent vieillies usées et médiocres sont balayées... En (...)
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1977

Dernier ajout : 29 décembre 1977.
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L’AUTRE FRANCE
31 mars 1977 -
LA DEMOCRATIE HORS DE PRIX
17 mars 1977LA DÉMOCRATIE HORS DE PRIX L’argent-roi. Jamais nous n’avions autant ressenti cette dure réalité. Même pendant les élections présidentielles de 1974, sans doute parce que la campagne officielle à la radio et à la télévision permettait à tous les candidats d’être entendus malgré le peu d’argent dépensé (2 millions d’anciens francs pour la NAF) et bien que nous ayions dû renoncer à faire une campagne nationale d’affiches et de réunions publiques. Mais, déjà, l’inégalité était flagrante entre des candidats (...)
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COMMUNES LIBEREZ-VOUS !
3 mars 1977POUR UNE CHARTE D’ACTION MUNICIPALE Faillite de la centralisation - Reconquérir le pouvoir municipal - Rééquilibrer le territoire... Article en pages 6 et 7. SI DEMAIN LA GAUCHE... « Si demain la gauche... ». Le titre du livre de Gaston Deferre montre que la campagne pour les élections législatives vient de s’engager, avant même que la bataille des municipales soit terminée. Cette démocratie ne nous laisse pas de répit. Mais est-ce bien la démocratie ?... Éditorial de Bertrand en page (...)
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Le Gavage
1er mars 1977 -
ROYALISTE POURQUOI ?
17 février 1977POURQUOI « ROYALISTE » ? Pourquoi avoir donné ce titre à notre journal, qui fut fier de s’appeler pendant cinq ans« La Nouvelle Action Française » puis, en abrégé, la NAF ? Serait-ce une plaisanterie, ou une provocation ? Ceux qui nous connaissent déjà un peu savent que notre engagement est trop profond pour que nous puissions nous moquer de nous-mêmes, de nos militants, et du public. Si nous avons choisi ce titre, après une longue réflexion, c’est parce qu’il nous définissait le mieux, et le plus (...)